« Tout cela n’est pas dans ta tête » : l’impact de l’organisation du travail sur la santé mentale

Catherine Paradis, responsable des communications et de la mobilisation

Le SEECR vous invite à une demi-journée syndicale pour réfléchir sur l’évolution de l’organisation du travail, les nouveaux modes de gestion et leurs impacts sur la qualité des conditions de travail dans les secteurs public et parapublic. L’activité, qui aura lieu le mardi 14 janvier 2020 de 9 h à 12 h à la 5e Saison, sera animée par deux personnes-ressources de la CSQ.

Surcharge de travail, manque d’autonomie, faible reconnaissance, injustice, manque de soutien, harcèlement psychologique, insécurité d’emploi… Au cours des dernières années, les collèges, comme les autres organisations du secteur public, ont vu se succéder d’importantes compressions budgétaires. De nombreux changements structurels ont été apportés dans les modes de gestion des fameuses Ressources humaines. De plus, les technologies toujours changeantes, les mouvements de personnel, les révisions de programme, les nouvelles demandes provenant de la direction ou des étudiantes et des étudiants sont autant d’ajouts à notre tâche, et tout cela a de multiples répercussions sur la santé physique et psychologique.

« Tout cela n’est pas dans ta tête »

La formation que nous vous proposons s’inscrit dans une importante campagne de sensibilisation lancée par la CSQ. En plus de déconstruire les pratiques de gestion qui finissent par faire douter les travailleuses et travailleurs de leurs compétences, la campagne les incite à agir en informant leur syndicat des situations qu’ils vivent et à s’inscrire dans une démarche d’action collective. 

La formation sera suivie d’un diner offert par le SEECR, histoire de souligner la nouvelle année et pour lancer officiellement la négo 2020. Ce sera une formule cocktail dînatoire, préparé par Davignon Traiteur. 

Pour nous aider à planifier le tout, l’inscription est obligatoire, tant à la formation qu’au diner, au plus tard le jeudi 9 janvier 2020.

Au plaisir,

Le Comité de coordination syndicale