#syndicalisme 2.0 au congrès de la FEC-CSQ

Catherine Paradis, responsable des communications et des pratiques syndicales

La Fédération des enseignantes et des enseignants de cégep (FEC-CSQ), à laquelle le SEECR est affilié, vous invite à son XXIIe congrès. Le congrès se déroulera les 3, 4 et 5 juin 2019, à Saint-Alexis-des-Monts, sous le thème « Syndicalisme 2.0 : notre action syndicale enseignante à l’ère du numérique ».

Le SEECR peut y déléguer dix membres. Comme nous ne sommes que six au Comité de coordination syndicale, nous avons besoin de vous pour compléter notre délégation! Si l’aventure vous intéresse, faites-nous signe d’ici le 1er mai.

Qu’est-ce que c’est, au juste, le congrès de la FEC?

La FEC regroupe treize syndicats d’enseignantes et d’enseignants de cégep, de Montréal aux Îles de la Madeleine en passant par Victoriaville et Sainte-Foy. Le congrès triennal de la Fédération est un moment privilégié de la vie démocratique de notre organisation syndicale. Outre la définition des priorités d’action pour les trois prochaines années, cette instance a également un rôle essentiel en ce qui a trait à la modification de nos statuts et règlements et à l’élection des personnes qui vous représentent au bureau exécutif.

Le thème choisi cette année, Syndicalisme 2.0, nous permettra de réfléchir et d’échanger sur notre action syndicale enseignante à l’ère du numérique. Les transformations technologiques que nous vivons (et subissons également!) depuis plusieurs années ont des effets à la fois sur notre vie professionnelle, syndicale et personnelle. À l’ère des médias sociaux, nos pratiques d’enseignement comme nos actions de mobilisation ont été modifiées et nous tenterons de prendre un temps d’arrêt nécessaire pour agir face à ces transformations.

Enfin, le congrès sera l’occasion de définir collectivement les perspectives d’action, d’échanger sur nos pratiques syndicales et de voter sur les propositions de modifications aux statuts. À la veille d’une nouvelle ronde de négociation, il est essentiel de réaffirmer notre solidarité et de renforcer notre action syndicale. Parce qu’il faut que ça change. Maintenant.